Emission de radio RMC : I C I répond en direct à Roselyne Bachelot sur la loi Justice du XXIème siècle
La radio RMC et Roselyne Bachelot interview I Comme Identité sur la loi Justice du XXième siècle.
La radio RMC et Roselyne Bachelot interview I Comme Identité sur la loi Justice du XXième siècle.
A l’occasion du dialogue citoyen à Rennes, monsieur Frans Timmermans, vice-président de la commission européenne, a répondu aux questions des européens. I Comme Identité a proposé d’étendre le principe de la conciliation familiale et a demandé à la commission européenne de nous aider. Monsieur Timmermans nous a montré son intérêt et nous a demandé d’envoyer notre projet afin de nous aider.
Une collaboration basée sur le bons sens pour l’intérêt premier des enfants qui apporte un apaisement durant les séparations.
I Comme Identité I C I , répond en direct à la radio RMC, dans l’émission de Mme Roselyne Bachelot sur la question de la loi Justice du XXième siècle.
à la 4ème minutes.
Cette nouvelle loi a l’avantage de ne plus être obligé de patienter la date d’un rendez-vous devant le juge puis du jugement qui ne comporte généralement rien qui permet l’anticipation et l’évolution des situations de chacun après divorce,; l’inconvénient c’est l’obligation de recourir à deux avocats même dans le cas d’un consentement mutuel ( C M ) ! Hors, l’intérêt premier d’un avocat passe par son chiffre d’affaire qui dépend du nombre de procédures. Notre intérêt passe avant tout par celui des enfants et de leurs parents à vivre dignement et respectueusement durant et après leur séparation.
La séparation n’est pas synonyme de conflit contrairement aux procédures. Souvent des erreurs proviennent des auxiliaires eux même, ce qui alourdies considérablement les procédures ( en d’autre terme plombe un dossiers ), et les conséquences ne peuvent pas retombé sur les auxiliaires qui a font les erreur ( évidement une erreur c’est pas de leur fautes) et une loi les protèges et personne ne peut faires de procédures contre cette erreur dû aux auxiliaires ? ce qui n’est pas normale et ni juste, car se sont les bons clients qui payent cette erreur d’une maniéré pécuniaire car il faudra une autre juridiction , donc attendre encore , et encore payer , et finalement le problème de ses clients non seulement reste , mais en plus il s’amplifient, les conséquences pour les enfants sont forcés d’exister, mais ca c’est pas le problème du procédurier qui voie dans cette erreur juste une erreur que le justiciable ( les parents ) ne pourrons jamais dénoncer et la porter devant la justice-? bizarre pour une profession, tous les droits, mais aucun devoir de résultats.
Le divorce la séparation n’est pas forcement un problème, se sont souvent les procédures qui causse de vrai dégâts aux parents et les enfants souvent en sont les victimes, car la procédure incite les parents a alimenter la procédure, ce qui parfois a des situations parfaitement anti sociale, voir inhumaine.
Suite a un troisièmes rendez-vous ministériels, nous avions présente a nouveau le projet de la Conciliation familiale et demandé a Madame Laurence Rossignol ( Ministre chargé à la famille et des femmes ) en 2014, l’abrogation (des articles- du ccp 797 et 1088-) qui oblige la présence d’un avocat pour les C M. Mais pourquoi, en 2016 ce gouvernement oblige deux avocats pour les C M avec cette nouvelle Loi, a qui profite cette proposition réellement, aux enfants ? aux parents ? a leur famille ? ou aux avocats !
Qui portera la responsabilité des conséquences et des séquelles que les enfants subissent et subiront très certainement avec ce cadeau pour les professionnels auxiliaires de justice, pour qui a été faites ce texte dans cette loi ? pour quels l’intérêts ? pour Qui en réalité ?.
Nous I C I nous réalisons même en amont de toutes procédures des conciliation familiale, cela et réaliser par conviction et dans l’intérêts premier des enfants et des familles, gratuit aux adhérents.
Cette solutions existent effectivement concernant les consentements mutuels. La Conciliation Familiale a 100% de réussite depuis 2010. Aucun retour d’un seul parent depuis. (www.conciliation-familiale.fr) Venez nous voir avant toutes procédures, c’est ce que vous PARENTS avez décidez en commun qui fera force de loi. www.conciliation-familiale.fr – association loi de 1901 reconnue d’intérêts général.
En réalité nous sommes précurseur de cette loi, du faite que nous avons proposé que les divorce par CM soit débarrassé des problèmes, pour facilité avant tout les dialogue des responsable – les parents – et non des tiers, pour maintenir un lien entre parents et enfants, et pour éviter les procédures qui finissent souvent par des non conciliation, donc cela amenera encore des procédure ( un système d’intérêts ), Nous avons des tarifs conventionnés avec des professionnelles, des cabinets d’avocats et des chambres de Notaires. Cela se passe a merveille, aussi nous réalisons en amont tous ce les parents souhaitent aborder, l’autorité parentale, la part éducative, l’hébergements , la domiciliations., avec une coopération saines et positives des parents qui on des craintes justifié des procédures car trop de famille se sont ruinés la santé et on perdu des relations inestimable, sans parler des 6 7 ou 22 mille euro dépensé pour les procédures ( un simple divorce !).
.La conciliation et juste une organisation que les parents accepte et dirige pour leur enfants, c’est du bon sens, du respect mutuel pour les enfants,. Voici a quoi concrètement amené la conciliation familiale.
Nous restons une force de propositions et seront prêts à nous faire entendre pour défendre les citoyens responsables et leur volonté concernant leur famille, avant celle des professionnelles. Amédéo Piromalli
Nicolas Sirot, délégué national de l’association I C I vous invite à y participer.
Avec la participation de Marion Hurel, psychologue clinicienne ; Delphine Boulois, membre et présidente d’I C I Pays de Loire et du président national, Amédéo Piromalli.
Quatre intervenants ont participé à ce colloque du 23 juillet 2016 :
Amédéo Piromalli, président fondateur de I Comme Identité (I C I), concepteur et porteur du projet de la conciliation familiale.
Henri Gibaud, normalien, agrégé, 22 ans de bénévolat associatif. « Lire et relire Evelyne Sullerot, 30 ans de soutien à la nouvelle parentalité ».
Marion Hurel, psychologue clinicienne, libérale, spécialisée dans l’accompagnement à la parentalité. Bénévole à l’association I C I. « Rester père et mère hors-paire, garder des repères ».
Le rôle des parents, la séparation conjugale, le temps de la réflexion, parler aux enfants, remplacer l’alliance conjugale par l’alliance parentale.
Jean Le Bail, professeur, président d’association. 8 ans de bénévolat. Défenseur de la parentalité. Présentation des raisons liées aux actions concernant les personnes évincées de leur autorité parentale.
Merci à eux et à M. Toufik Hedna, président de l’association Les amis de l’Algérie pour son aide logistique.
Lors d’une séparation conjugale, il est important de garder à l’esprit que le rôle de parent et celui de conjoint font référence à différentes parties de l’identité. Il est nécessaire, donc, de différencier le conjoint et le parent. De plus, l’enfant ne doit pas voir ses liens avec l’un de ses parents rompus. Il a besoin de chacun de ses parents. Il est le résultat d’un désir de couple, est issu de l’histoire du couple et de l’histoire de chaque parent. Il est important, pour sa construction de ne pas perdre une partie de son identité en coupant les liens avec une partie de sa famille, quelle qu’elle soit. L’enfant doit être rassuré sur le fait que bien que ses parents se séparent, ils ne divorcent pas de lui.
Un autre point important est que l’angoisse vient de ce qu’on ne peut pas imaginer, de ce que l’on ne sait pas. Pour rassurer, il faut donc imaginer. Dans des situations déstabilisantes et d’insécurité, comme l’est une crise familiale, l’enfant sera rassuré en restant à sa place d’enfant : il n’a pas son avis à donner sur la séparation, le choix de garde,… De plus, il est nécessaire d’éviter les situations dans lesquelles il peut se sentir en positions de conflits de loyauté envers l’un de ses parents. Il n’a pas sa place dans ces histoires d’adultes. Pour éviter l’angoisse, il convient d’expliquer aux enfants simplement la situation, les conflits… Ils apprécieront le fait d’avoir la possibilité de poser des questions. Avoir préparé certaines réponses en amont de l’annonce permettra à l’enfant de se sentir rassuré, cadré. Cependant, il aura de mauvais moments à vivre aussi : il a un deuil de famille idéale à réaliser. En ce qui concerne les beaux-parents, ils ont un rôle à inventer, en se différenciant de celui des parents biologiques, qui doivent seuls faire les choix importants qui concernent la vie de l’enfant. Lorsque les parents s’accordent, dans l’intérêt de chaque enfant, les solutions trouvées restent les meilleures.
Marion Hurel, psychologue
Cette année, la formation a pu être en partie subventionnée par le ministère Sport, Jeunesse et Vie Associative via la région Bretagne. Nous les remercions. Cela a permis de contribuer à l’amélioration de la formation.
Des intervenants dont deux professionnels y ont participé : une avocate et une notaire comme l’an passé et deux nouveaux intervenants, adhérents à l’association, spécifiques à la conciliation familiale.
Nous remercions les Chambres des Notaires.
Elle a réuni 12 bénévoles provenant de différentes régions de France.
Stéphane DOUDET, bénévole d’I C I, en course avec le maillot des couleurs de l’association I Comme Identité – I C I-. Il aura parcouru au total près de 1000 km. La course continue. Bravo à Stéphane ! Merci pour vos encouragements à notre cause commune afin d’aider les enfants de parents séparés à vivre respectueusement durant et après la séparation du couple.
En direct sur RMC au sujet de la réforme du divorce.
I Comme Identité donne son point de vue :
Nous confirmons que les séparations ne sont pas une problématique. La vraie problématique ce sont les procédures. Ce sont elles qui n’apportent en finalité aucune solution concernant l’intérêt des enfants et moins encore ceux des parents. Nous ne pouvons que constater de la tristesse, des angoisses, des batailles sans parler des sommes parfois allant jusqu’à 12 000 euros pour une simple procédure de divorce. Donc, des intérêts certes mais nous, nous constatons des intérêts bien loin de l’intérêt des enfants et des parents.
Ne soyez pas con, soyez constructif ! Séparez-vous avec la conciliation familiale !